jeudi 31 juillet 1997,
The philosophy of the Cambridge Platonists in the mid-seventeenth century constituted a unique return to many themes of classical Christian Platonism in epistemology and metaphysics. It did so at a time marked by great changes in the natural sciences and in philosophy under the impact of such figures as Galileo and Descartes and great religious and political turmoil in England associated with the Civil War. As well as examining central aspects of their thought and their political and religious implications, this book explores themes arising from that context and the relationship of key figures in the group with their contemporaries and successors. It consists of a series of original papers written by leading scholars of the period from England, France and Australia. A particular feature is the links made with contemporary political debate, an aspect of their thought hardly touched on in any other publications on the school.
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`This collection will be of interest to historians and researches in theology as wel as philosophers.’
`The scholarship represented by all of the essays in this collection is of uniformly high quality. The volume is a most worthy addition to Kluwer’s excellent International Archives of the History of Ideas.
The Review of Metaphysics. (March, 2000)
* Hardcover : 272 pages
* Publisher : Springer ; 1 edition (July 31, 1997)
* Language : English
* ISBN-10 : 0792345304
* ISBN-13 : 978-0792345305
Professeur. Histoire de la philosophie, philosophie moderne, philosophie anglaise, philosophie analytique.
Courrier électronique : Vienne.jm@wanadoo.fr
Présentation, traduction et notes de J.-M. Vienne
Locke rédige autour de 1693 plusieurs notes sur la philosophie de Malebranche. Ces critiques n’ont pas eu le succès de celles d’Arnauld. Elles participent pourtant à la màªme controverse sur le statut des idées. Mais l’idée n’est pas l’essentiel ; Locke en traite dans le cadre d’un débat plus large : comment accroà®tre notre savoir limité ? La critique a une visée pratique : s’opposer à la vision immédiate des vérités éternelles et à l’assurance qui en découle. La tolérance et la liberté individuelle (...)
Le numéro de septembre de la série « Le Point-références » est consacré à : Descartes, Locke, Leibniz. Les maà®tres de la raison.
Jean-Michel Vienne y a rédigé des articles sur Locke, Denis Moreau des articles sur Descartes.
Contribution publiée dans Philosophie et théologie à l’époque moderne, Anthologie — tome III, sous la direction de Philippe Capelle-Dumont — Volume dirigé par Jean-Christophe Bardout, et dont voici la présentation :
Nous présentons ici la première « Anthologie  » de textes concernant les rapports entre la philosophie et la théologie. Fidèle à l’esprit de la collection « Philosophie & Théologie  » elle se donne pour objectif d’illustrer l’histoire complexe et mouvementée des rapports entre ces deux (...)
Livres I, II, III, IV
Essai sur l’entendement humain, I & II
Le succès des Essais de John Locke sur l’origine, les modalités et le but de l’entendement humain fut similaire au triomphe de Newton en physique. Cet ouvrage initie tout le courant empiriste qui le suit, ainsi que la psychologie comme science. Il reste, à ce jour, la plus étudiée des oeuvres de Locke. Les livres I et II, ici édités dans une traduction nouvelle, présentent l’acte fondateur (que reproduiront Berkeley et Hume) de la thèse sensualiste : la (...)
Les fondements de la morale selon Locke
Si tout vient de l’expérience, à quoi bon la raison ? N’est-elle pas mise hors jeu par le monde qui impose son évidence, son ordre et sa richesse à l’entendement passif ? Locke, que l’on dit empiriste, est ici pris à témoin : dans l’Essai sur l’entendement humain, il est moins question d’expérience que d’entendement. L’Essai se réduit-il pour autant à la théorie de la science qu’y cherchent beaucoup d’interprètes ? Le but est au contraire éthique. S’agit-il alors d’un exposé de morale ? Non, car Locke s’en (...)
Quelle place donner à l’histoire de la philosophie ? “Tradition analytique†et “tradition franà§aise†ont eu longtemps des réponses tellement opposées, qu’une tradition pouvait rejeter l’autre d’après ce seul critère ; ceux qui condamnaient la réduction de la philosophie à l’histoire des idées et dénonà§aient l’oubli de la dimension intemporelle des argumentations valides, étaient eux màªmes critiqués pour la naà¯veté de leur silence sur la dimension historique de toute réflexion philosophique. Les (...)