“Puis-je lancer un nain qui le veut bien ?”

“Puis-je lancer un nain qui le veut bien ?”

Puis-je lancer un nain qui le veut bien ? Non, a répondu le Conseil d’Etat en 1995 : le lancer de nain, c’est-à -dire l’attraction ou la compétition qui consiste à  projeter le plus loin possible une personne de petite taille, est jugé comme portant atteinte à  la dignité de la personne humaine et troublant l’ordre public. Mais les principes d’une telle condamnation sont-ils bien assurés ? Le consentement des protagonistes n’annule-t-il pas toute faute ?

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